Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a déclaré qu'Israël avait "franchi toutes les lignes rouges" et que ces attaques "pourraient être considérées comme des crimes de guerre ou une déclaration de guerre".
Comme dans tant d'autres guerres et conflits, les déclarations des uns les dépeignent comme des victimes tout en laissant entendre que des représailles pourraient suivre ce qui, incidemment, perpétue le cycle de la violence.
Et les têtes parlantes "dans le camp ennemi" (en Israël, dans ce cas-ci) font à peu près exactement la même chose ce qui assure une continuité dans les conflits, permettant de reprendre sans fin le cycle de la victimisation suivie des violences.
Et les populations civiles non-violentes qui sont prises pour le devenir afin de se défendre dans ce qui se transforme dans divers degrés de chaos se sentent trahis par "leurs" dirigeants qui ramènent sans cesse la guerre à leur porte.
Comment ce type de cycle de violences peut-il être stoppé?
En assumant qu'il puisse l'être...
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